Une expulsion, milles occupations
Ce reportage est réaliser dans différentes occupations, squats de Bruxelles. Ces occupations qui ont pour but une vie plus parraine, un brin d’aire pour faire face à une politique mortifère qui à défaut de régulariser les sans-papier les forces à trouver des solutions pour se loger, une politique qui au lieux de réguler les loyers laisse place à une politique d’urbanisation au marchand de sommeille, poussant les population plus précaire à trouver une solution pour se loger de manière abordable.
D’après une étude commanditée par la Secrétaire d’état au logement réalisé en 2021 par des chercheur·euses de l’ULB/VUB, on compterait entre 17 000 et 26 400 « logements présumés inoccupés » à Bruxelles.
Dans un texte intitulé « La crise du logement à Bruxelles: la comprendre et en sortir! » écrit par Anne-Sophie Dupont pour le RBDH il es écrit: « La crise du logement abordable que connait Bruxelles est le résultat d’un double phénomène : D’une part, celui de l’appauvrissement croissant de la population : aujourd’hui, un tiers (33%) de la population vit sous le seuil de pauvreté. D’autre part, celui de l’augmentation du coût du logement. »
Dans un texte intitulé « Mythes, réalité et discours du logement vide à Bruxelles » publié par le conseil bruxellois de coordination sociopolitique iels disent : « La politique du vide est d’abord et avant tout la politique du désarroi, du renoncement, le symbole de l’impuissance d’une politique en mesure de produire des logements pour reloger les personnes sans-domicile et faire face sérieusement au manque de logements abordables à Bruxelles. »
Occuper n’est pas un choix, mais quand on es blanc avec papier cette décision est plus simple, car les occupation vive sous la contrainte d’une forte répression et sous l’épé de Damoclès des expulsion. Le décision d’y faire face et de lutter est éprouvante. Avec ou sans papier il faut se loger, se nourrir, travailler éduquer des enfants. Des situation du quotidien évidentes pour certain·es, une lutte de tout les jours pour d’autres quand ces situations sont couplé à une situation angoissante et instable du non choix de l’occupation.



















